LA PROCHAINE MANIFESTATION DE DIEU
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LA PROCHAINE MANIFESTATION DE DIEU
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Bahá'u'lláh, paix et bénédiction sur lui, nous a informé dans le « Livre le Plus Saint » qu'il n'y aura pas de nouvelle Manifestation de Dieu avant, au moins, mille ans révolus.
« Quiconque prétend à une révélation directe de Dieu avant l'expiration de mille ans révolus est, assurément, un imposteur qui ment. Nous prions Dieu de l'aider par sa grâce à se rétracter et à désavouer pareille prétention. » (Kitáb-i-Aqdas)
Les écrits bahá'is mettent en garde contre toute tentative d'interpréter métaphoriquement cette durée de mille ans, en insistant sur le fait qu'il s'agit bel et bien de mille années terrestres. Cette durée est celle que nous connaissons, basée sur le calendrier « grégorien » ou le calendrier « badi ».
Abdu'l-Bahá, que Dieu l'ait en Sa miséricorde, a dit : « Le sens de ce verset est le suivant : « Tout individu qui, avant l'expiration d'une période de dix siècles accomplis - délai connu, clairement établi par la coutume et ne nécessitant aucune interprétation - prétendrait à une révélation qui lui parviendrait directement de Dieu, même s'il révélait certains signes, cet homme serait assurément un imposteur. » (Sélection des écrits d'Abdu'l-Bahá)
Ce décompte d'au moins mille ans révolus a commencé le Jour où Bahá'u'lláh reçut sa première révélation au sein du Síyáh-Chál en 1852. Il ne déclara cette révélation que onze années plus tard, en 1863, mais c'est bien l'an 1852 après Jésus-Christ qui marque le début de sa dispensation.
« L'annonce à Bahá'u'lláh de sa révélation dans le Síyáh-Chál de Tihrán, en octobre 1852, marque la naissance de sa mission prophétique et, par là même, le commencement des mille années ou plus qui doivent s'écouler avant l'apparition de la prochaine manifestation de Dieu. » (Notes du Kitáb-i-Aqdas)
Par conséquent, tout homme qui se prétend messager de Dieu avant l'an 2852 après J.C. est un imposteur qui doit être rejeté. À partir de 2852 après J.C., ou après selon ce qu'aura décrété la volonté de Dieu, une nouvelle Manifestation de Dieu sera susceptible d'apparaître. À partir de cette date, il incombera à chaque âme d'examiner avec le plus grand soin et la plus grande gravité toute prétention qu'aura un homme - ou une femme - d'être Manifestation de Dieu. Cette apparition constituera une nouvelle épreuve pour l'humanité et marquera une nouvelle étape de son développement.
Sa Sainteté, Bahá'u'lláh, paix et bénédiction sur lui, a révélé : « Réfléchis profondément afin que le secret des choses invisibles te soit révélé, que tu puisses respirer les douceurs d'un impérissable parfum spirituel et affirmer cette vérité que le Tout-Puissant, depuis les temps immémoriaux et pour l'éternité, a toujours voulu et voudra toujours éprouver ses serviteurs, afin de distinguer la lumière de l'obscurité, le vrai du faux, le bien du mal, le bon conseil du mauvais, le bonheur de la misère, la rose des épines. C'est ainsi qu'Il a révélé : « Les hommes s'imaginent-ils qu'on les laissera tranquilles pour peu qu'ils disent : nous croyons, et qu'on ne les mettra pas à l'épreuve ? » (Livre de la Certitude)
« Quiconque prétend à une révélation directe de Dieu avant l'expiration de mille ans révolus est, assurément, un imposteur qui ment. Nous prions Dieu de l'aider par sa grâce à se rétracter et à désavouer pareille prétention. » (Kitáb-i-Aqdas)
Les écrits bahá'is mettent en garde contre toute tentative d'interpréter métaphoriquement cette durée de mille ans, en insistant sur le fait qu'il s'agit bel et bien de mille années terrestres. Cette durée est celle que nous connaissons, basée sur le calendrier « grégorien » ou le calendrier « badi ».
Abdu'l-Bahá, que Dieu l'ait en Sa miséricorde, a dit : « Le sens de ce verset est le suivant : « Tout individu qui, avant l'expiration d'une période de dix siècles accomplis - délai connu, clairement établi par la coutume et ne nécessitant aucune interprétation - prétendrait à une révélation qui lui parviendrait directement de Dieu, même s'il révélait certains signes, cet homme serait assurément un imposteur. » (Sélection des écrits d'Abdu'l-Bahá)
Ce décompte d'au moins mille ans révolus a commencé le Jour où Bahá'u'lláh reçut sa première révélation au sein du Síyáh-Chál en 1852. Il ne déclara cette révélation que onze années plus tard, en 1863, mais c'est bien l'an 1852 après Jésus-Christ qui marque le début de sa dispensation.
« L'annonce à Bahá'u'lláh de sa révélation dans le Síyáh-Chál de Tihrán, en octobre 1852, marque la naissance de sa mission prophétique et, par là même, le commencement des mille années ou plus qui doivent s'écouler avant l'apparition de la prochaine manifestation de Dieu. » (Notes du Kitáb-i-Aqdas)
Par conséquent, tout homme qui se prétend messager de Dieu avant l'an 2852 après J.C. est un imposteur qui doit être rejeté. À partir de 2852 après J.C., ou après selon ce qu'aura décrété la volonté de Dieu, une nouvelle Manifestation de Dieu sera susceptible d'apparaître. À partir de cette date, il incombera à chaque âme d'examiner avec le plus grand soin et la plus grande gravité toute prétention qu'aura un homme - ou une femme - d'être Manifestation de Dieu. Cette apparition constituera une nouvelle épreuve pour l'humanité et marquera une nouvelle étape de son développement.
Sa Sainteté, Bahá'u'lláh, paix et bénédiction sur lui, a révélé : « Réfléchis profondément afin que le secret des choses invisibles te soit révélé, que tu puisses respirer les douceurs d'un impérissable parfum spirituel et affirmer cette vérité que le Tout-Puissant, depuis les temps immémoriaux et pour l'éternité, a toujours voulu et voudra toujours éprouver ses serviteurs, afin de distinguer la lumière de l'obscurité, le vrai du faux, le bien du mal, le bon conseil du mauvais, le bonheur de la misère, la rose des épines. C'est ainsi qu'Il a révélé : « Les hommes s'imaginent-ils qu'on les laissera tranquilles pour peu qu'ils disent : nous croyons, et qu'on ne les mettra pas à l'épreuve ? » (Livre de la Certitude)
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